Sur le vif

 

Blanche est une fille qui déteste le noir, la couleur noire et tout ce qui peut faire ombre sur le Blanc. Elle n’est habillée que de blanc des pieds à la tête, ne porte pas de lunettes de soleil... Cet amour du blanc semble lui être transmis par son père, photographe disparu. Mais où ça ? Dans le blanc des paysages, dans le blanc de ses photos solarisées.

Et si le plus blanc que blanc était d’aimer ?

 Teaser ici --> https://youtu.be/j9l_zwlPiUo

Intention

La rencontre avec l’univers de Claudine Galea a été une révélation pour moi.
C’est de par son verbe poétique, sa justesse d’adresse à un public jeune sans outils infantilisants, ainsi que les thématiques et enjeux qu’elle aborde que Claudine Galea met en mot ce que je souhaite traiter et questionner dans mon travail artistique.
Comment conserver l’innocence, l’émerveillement, la curiosité et l’imaginaire de l’enfant dans nos vies d’adultes ?
À travers son recueil de L’heure blanche et Toutes leurs robes noires, Claudine Galea nous fait voyager entre rêve et réalité, entre lumière et ombre, comme le négatif et positif d’une photographie du réel. Par son écriture et son univers bichrome, elle interroge avec poésie le mystère des rapports différents au monde des enfants et des adultes : au travers de la question du deuil et de la perte dans L’heure blanche, et celle de laisser son enfant grandir et voyager dans Toutes leurs robes noires.
Les mots comme une arme, l’onirisme comme un remède aux choses simples que les adultes rendent complexes. De sa plume, Claudine Galea invite au rêve, par le spectacle d’ombre, Rumeurs des Vents vous y emmènera

Distribution

Mise en scène – Hélixe Charier
Interprétations et manipulations – Adélaïde Poulard, Matthias Sebbane
Création musicale – Arnold Courset-Pintout
Illustrations – Charlotte Lemaire
Construction décor – Dominique Pain, Bertrand Charier

Téléchargements

Dossier artistique

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