Sur le vif
Spectacle
L'étrange piano de Kreisler
Auteur: Kreisleriana op16 de Robert Schumanna inspiré du personnage d'ETA Hoffmann
Mise en scène: Katerini Antonakaki - Ilias Sauloup
Technique: musique et théâtre d'objets
Une Odyssée entre musique et poésie
Sur scène un piano, véritable protagoniste aux mille facettes, machinerie théâtrale minimaliste, évoque les coulisses mécaniques insoupçonnées de l’opéra. La dramaturgie suit le récit chromatique de Kreisleriana opus 16 de Robert Schumann, partition emblématique de l’époque romantique. Pièce en 8 parties, 8 actes vivants et contrastés entre ombre et lumière, 8 comme le signe de l’infini.
Le spectateur est invité à une promenade acousmatique singulière, un voyage sensoriel dans les méandres de la psyché humaine. Le personnage de Kreisler apparaît dans un élan vital en quête de sens, habité par ses pensées fugaces et ses rêves inachevés, qui prennent vie autour de lui. Ces apparitions irréelles, incarnées par les objets et les lumières surgissant de son piano, transcendent quelques pages arrachées à son journal intime étonnant. Sa silhouette se dessine ici comme une esquisse de l’impossible incarnation du musicien idéal, libre et engagé à la fois.
Intention
Petite forme ludique et intime autour du personnage de Kreisler, musicien extravagant, inventé par E.T.A. Hoffmann et sublimé par la musique de Robert Schumann. Sur scène un pianiste joue des facettes de son âme sur un piano prêt à naviguer entre musique et poésie. Les spectateurs plongent dans un poème en trois dimensions sur les traces de quelques pages déchirées d’un journal intime étonnant.
Distribution
mise en espace et scénographie Katerini Antonakaki / mise en musique Ilias Sauloup / dramaturgie et regard extérieur Achille Sauloup / images animées Claire Jany / caméra en direct Olivier Guillemain / merci à Flop pour ses conseils en bricoluminologie / avec Ilias Sauloup au piano et Katerini Antonakaki aux objets animés / chargée de diffusion Mariana Rocha
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Auteur: Kreisleriana op16 de Robert Schumanna inspiré du personnage d'ETA Hoffmann
Mise en scène: Katerini Antonakaki - Ilias Sauloup
Technique: musique et théâtre d'objets
Une Odyssée entre musique et poésie
Sur scène un piano, véritable protagoniste aux mille facettes, machinerie théâtrale minimaliste, évoque les coulisses mécaniques insoupçonnées de l’opéra. La dramaturgie suit le récit chromatique de Kreisleriana opus 16 de Robert Schumann, partition emblématique de l’époque romantique. Pièce en 8 parties, 8 actes vivants et contrastés entre ombre et lumière, 8 comme le signe de l’infini.
Le spectateur est invité à une promenade acousmatique singulière, un voyage sensoriel dans les méandres de la psyché humaine. Le personnage de Kreisler apparaît dans un élan vital en quête de sens, habité par ses pensées fugaces et ses rêves inachevés, qui prennent vie autour de lui. Ces apparitions irréelles, incarnées par les objets et les lumières surgissant de son piano, transcendent quelques pages arrachées à son journal intime étonnant. Sa silhouette se dessine ici comme une esquisse de l’impossible incarnation du musicien idéal, libre et engagé à la fois.
Intention
Petite forme ludique et intime autour du personnage de Kreisler, musicien extravagant, inventé par E.T.A. Hoffmann et sublimé par la musique de Robert Schumann. Sur scène un pianiste joue des facettes de son âme sur un piano prêt à naviguer entre musique et poésie. Les spectateurs plongent dans un poème en trois dimensions sur les traces de quelques pages déchirées d’un journal intime étonnant.
Distribution
mise en espace et scénographie Katerini Antonakaki / mise en musique Ilias Sauloup / dramaturgie et regard extérieur Achille Sauloup / images animées Claire Jany / caméra en direct Olivier Guillemain / merci à Flop pour ses conseils en bricoluminologie / avec Ilias Sauloup au piano et Katerini Antonakaki aux objets animés / chargée de diffusion Mariana Rocha